Géraldine Lay à la galerie - les livrets d'expositions disponibles :
2022 : Le Japon en duo
2021 : La galerie a 40 ans !
2020 : C’est quoi l’été pour vous ?
2018 : Honneurs aux éditeurs !
2017 : Notre beauté fixe - " Photolalies" pour Denis Roche
2016 : North End
Géraldine Lay à Paris Photo - les livrets d'expositions disponibles :
2023 : livret d'exposition de Paris Photo
2018 : livret d'exposition de Paris Photo
Géraldine Lay est née en 1972. Diplômée de l'Ecole Nationale Supérieure de la Photographie en 1997, elle vit à Arles et travaille aux Editions Actes Sud.
En 2003, elle s’associe à trois photographes, Céline Clanet, François Deladerrière, Geoffroy Mathieu, et réalise plusieurs expositions sous l’intitulé Un mince vernis de réalité qui deviendra un coffret édité en avril 2005 aux éditions Filigranes avec un texte de Michel Poivert. Un site internet témoigne également de leur aventure commune.
Au printemps 2005, Géraldine Lay participe à l’exposition collective Les pépinières du Réverbère, à Lyon, à la galerie Le Réverbère qui, dès lors, représente son travail et l’expose au salon Paris Photo en 2005, 2009, 2012 et à la galerie en 2009, 2011 et 2013.
En 2007, le Centre d’art contemporain Chapelle Saint-Jacques à Saint-Gaudens et Image/imatge à Orthez l’invitent en résidence. L’illusion du tranquille sera présentée en 2008 dans ces deux lieux.
En 2006, elle obtient la bourse d’aide à la création « Septembre de la Photographie 2006 » de Lyon et, en 2007, celle de la Région PACA pour un travail de portraits réalisés dans les rues de Rome. Ces photographies seront exposées aux Photaumnales de Beauvais en 2008, à l’atelier De Visu en 2010. Elle est invitée par l’association Diaphane à poursuivre cette série à Glasgow en mai 2009 pour le projet “Destination Europe”. En 2010 elle est choisie comme résidente des Photaumnales à Beauvais et publie aux Editions Diaphane le livre Où commence la scène, avec un texte de François Bon.
Elle expose la série Failles ordinaires en avril 2012 à l’artothèque municipale de Grenoble, en mai 2012 à la galerie du Château d’eau à Toulouse, et enfin au Capitole pendant les Rencontres Internationales de la Photographie à Arles. A cette occasion, une monographie Failles ordinaires est publiée aux Editions Actes Sud, préfacée par Jacques Damez.
En 2013, elle est invitée à participer à l’exposition collective I see Europe à Stuttgart par la Ffotogallery de Cardiff puis à l’automne aux 10 ans des Photaumnales à Beauvais, à l’Institut français de Madrid avec la collection du Château d’eau de Toulouse et aux Photofolies de Rodez. Grâce au festival Travelling de Rennes elle retourne à Glasgow pour finir la réalisation d’un diaporama sur la ville.
Le Centre du patrimoine de Montauban et le musée Calbet de Grisolles lui proposent de travailler sur les intérieurs de la ville, ce qui donnera lieu à la publication d’un ouvrage et à une exposition Des Attentes éperdues en 2013. Nouvelle invitation en 2014 pour photographier la demeure Langlade.
En 2015, résidence avec l’association Lumière d’encre sur la ville de Céret et exposition au printemps de Failles ordinaires à la librairie Maupetit à Marseille
Lauréate 2015 du programme Hors les Murs de l’Institut français, elle poursuit la série menée au Royaume-Uni qui donne lieu à l’exposition North End en janvier 2016 à la Galerie Le Réverbère, qui sera reprise en 2018 aux Rencontres d'Arles (publication de North End chez Actes Sud). Invitée ensuite en résidence à Nantes en 2016, elle publie un catalogue aux Editions Poursuite, Impromptus. 2020, elle entame une résidence à la Caza d'Oro au Mas d'Azil.
De 2016 à 2019 Géraldine Lay part 4 fois au Japon, pour son projet Quatre automnes, présenté au Teil dans le cadre du festival Présence Photographie, puis à la galerie Le Réverbère, avec l’aide à la première exposition du Cnap - Centre national des arts plastiques et du soutien de l’Institut français. 2023, le livre FAR EAST est éditié aux éditions Poursuite.
En 2020-21, Géraldine Lay photographie Clichy-sous-Bois pour une commande sur le quartier du Chêne-Pointu.
En 2022, Géraldine Lay est selectionnée parmi 200 photographes pour la commande photographique Radioscopie de la France initié par le ministère de la Culture et confié à la Bibliothèque nationale de France.
Son travail a intégré des collections publiques telles que la Bibliothèque Nationale de France, les arthotèques d’Annecy, d’Auxerre, de Chambéry, de Grenoble, de Lyon, de Pau, de Pessac et de Saint-Priest mais également le FRAC Midi-Pyrénées, le Château d’eau de Toulouse, la Passerelle Scène nationale de Gap et la ville de Beauvais. En parallèle, de nombreuses collections privées ont acquis des photographies de Géraldine Lay.
English
2021 : Histoires singulières, Françoise Le Corre, Dijon
2020 : S’il fallait choisir, Croisière, Arles
S’en aller chercher, restitution de la résidence à Caza d’Oro, Château de Seix
2019 : North End, Librairie Maupetit, Marseille
North End, Espace Leïca, Paris
2018 : North End, les Rencontres, Arles
2017 : North End, Théâtre de Chamber
2016 : North End, Gallery Le Réverbère, Lyon
2015 : Failles ordinaires, Gallery bookshop Maupetit, Marseille
Résidence d’artiste Lumière d’encre, Galerie La Capelleta, Céret